Titre : | SOS Titanic: Journal de Julia Facchini 1912 | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Christine Féret-Fleury, Auteur | Editeur : | Gallimard Jeunesse | Année de publication : | 2005 | Collection : | Mon Histoire | Importance : | 154 p. | ISBN/ISSN/EAN : | 2-07-051153-2 | Prix : | 8,10 € | Langues : | Français (fre) | | Catégories : | Jeunesse Art et culture:Architecture:Histoire:XXème siècle Art et culture:Littérature:Par genre (sélection):Journaux et carnets
| Mots-clés : | Adolescente/Titanic/naufrage | | Résumé : | Julia est à bord du Titanic lorsqu'elle va vivre la nuit dramatique lorsque le paquebot a sombré. Elle raconte son aventure dans son journal intime. «15 avril 1912, 2 h 20 du matin. Je suis sur le pont avec d'autres passagers qui, comme moi, s'efforcent de ne pas gêner l'équipage. Personne ne parle. Les hommes ont le visage grave et tendu ; une femme prie à voix basse. Nous marchons à pleine vitesse. Qui aurait cru que le Carpathia pouvait aller si vite ? Le capitaine a posté des vigies à l'avant, avec mission de guetter les glaces à la dérive, ou le moindre signe du Titanic. Tout paraît tranquille, trop tranquille : la mer est plate comme un lac, les étoiles brillent avec intensité dans le ciel noir. Il fait de plus en plus froid. Comment imaginer qu'à quelques milles d'ici un navire aussi énorme soit en perdition ?»
| Note de contenu : | Destiné à des élèves du collège. |
SOS Titanic [texte imprimé] : Journal de Julia Facchini 1912 / Christine Féret-Fleury, Auteur . - Gallimard Jeunesse, 2005 . - 154 p.. - ( Mon Histoire) . ISSN : 2-07-051153-2 : 8,10 € Langues : Français ( fre) | Catégories : | Jeunesse Art et culture:Architecture:Histoire:XXème siècle Art et culture:Littérature:Par genre (sélection):Journaux et carnets
| Mots-clés : | Adolescente/Titanic/naufrage | | Résumé : | Julia est à bord du Titanic lorsqu'elle va vivre la nuit dramatique lorsque le paquebot a sombré. Elle raconte son aventure dans son journal intime. «15 avril 1912, 2 h 20 du matin. Je suis sur le pont avec d'autres passagers qui, comme moi, s'efforcent de ne pas gêner l'équipage. Personne ne parle. Les hommes ont le visage grave et tendu ; une femme prie à voix basse. Nous marchons à pleine vitesse. Qui aurait cru que le Carpathia pouvait aller si vite ? Le capitaine a posté des vigies à l'avant, avec mission de guetter les glaces à la dérive, ou le moindre signe du Titanic. Tout paraît tranquille, trop tranquille : la mer est plate comme un lac, les étoiles brillent avec intensité dans le ciel noir. Il fait de plus en plus froid. Comment imaginer qu'à quelques milles d'ici un navire aussi énorme soit en perdition ?»
| Note de contenu : | Destiné à des élèves du collège. |
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